Auteur : Muriel Barbery
L'histoire :
Renée est une concierge de 54 ans qui aime la littérature et le cinéma. Pour coller à l'image que les habitants de l'immeuble ont d'une concierge, elle se cache pour assouvir sa passion de la lecture.
Paloma est une adolescente très intelligente mais incomprise de sa famille. Elle a décidé de son futur : le jour de ses 13 ans, elle mettra fin à ses jours et fera brûler l'appartement de ses parents.
Ce roman est le récit croisé de deux habitantes d'un même immeuble bourgeois mais que tout oppose (l'âge, la condition sociale). Grâce à l'arrivée d'un nouveau propriétaire, Renée et Paloma vont s'apprivoiser. Avec cet homme, ils passeront du temps tous les trois à satisfaire leur soif de connaissance et de partage.
Ce que j'en ai pensé :
J'ai apprécié la lecture de ce roman dont j'avais entendu bien des éloges sur la blogosphère.
L'écriture est simple. On se retrouve confronté à deux journaux intimes, en quelque sorte. On a deux histoires au départ pour finir en une seule.
Cependant l'effet de surprise, si on peut l'appeler ainsi, est préservé jusqu'à la fin. Pour ma part, la tension créée par le récit n'est retombée que quelques pages avant la fin du roman.
L'histoire :
Renée est une concierge de 54 ans qui aime la littérature et le cinéma. Pour coller à l'image que les habitants de l'immeuble ont d'une concierge, elle se cache pour assouvir sa passion de la lecture.
Paloma est une adolescente très intelligente mais incomprise de sa famille. Elle a décidé de son futur : le jour de ses 13 ans, elle mettra fin à ses jours et fera brûler l'appartement de ses parents.
Ce roman est le récit croisé de deux habitantes d'un même immeuble bourgeois mais que tout oppose (l'âge, la condition sociale). Grâce à l'arrivée d'un nouveau propriétaire, Renée et Paloma vont s'apprivoiser. Avec cet homme, ils passeront du temps tous les trois à satisfaire leur soif de connaissance et de partage.
Ce que j'en ai pensé :
J'ai apprécié la lecture de ce roman dont j'avais entendu bien des éloges sur la blogosphère.
L'écriture est simple. On se retrouve confronté à deux journaux intimes, en quelque sorte. On a deux histoires au départ pour finir en une seule.
Cependant l'effet de surprise, si on peut l'appeler ainsi, est préservé jusqu'à la fin. Pour ma part, la tension créée par le récit n'est retombée que quelques pages avant la fin du roman.