Auteur : Anna GAVALDA
4° de couverture :
«Quand j'arrive à la gare de l'Est, j'espère toujours secrètement qu'l y aura quelqu'un pour m'attendre. C'est con. J'ai beau savoir que ma mère est encore au boulot à cette heure-là et que Marc n'est pas du genre à traverser la banlieue pour porter mon sac, j'ai toujours cet espoir débile.»
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d'espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu'il arrive, ils n'ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d'émotion qu'ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d'Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
Mon avis :
Ce recueil de petites histoires est assez rapide à lire. On y rencontre des gens différents.
Petites pratiques germanopratines : Une femme aperçoit dans la rue un homme qui l'attire. L'approchera-t-elle?
I.I.G. : Elle est enceinte et déjà un enfant. Elle vit une nouvelle grossesse.
Cet homme et cette femme : Un couple est dans une voiture. Pas un mot.
The Opel Touch : La difficulté des relations homme-femme.
Ambre : Il est chanteur. Il se drogue. Il rencontre Ambre.
Permission : Pas toujours facile d'être comparé à son frère aîné...
Le fait du jour : Un représentant est lié au fait du jour.
Catgut : une nouvelle vétérinaire arrive à la campagne.
Junior : Quand un enfant "de la haute" devient ami avec un fils de cultivateur, ils vont à une fête avec la voiture paternelle.
Pendant des années : Des erreurs de jeunesse naissent les remords. Faut-il rattraper le temps perdu?
Clic-clac : La vie n'est pas facile pour ce jeune homme qui vit avec ses soeurs... Le tout est de s'affranchir.
Epilogue : ou l'histoire d'un auteur et de son travail.
J'ai vraiment aimé ces petites histoires où les chutes créent à chaque fois un effet de surprise. Les situations décrites sont si réelles. J'ai eu l'impression, à chaque fois, de lire un journal intime, un morceau de vie de chacun des personnages.
4° de couverture :
«Quand j'arrive à la gare de l'Est, j'espère toujours secrètement qu'l y aura quelqu'un pour m'attendre. C'est con. J'ai beau savoir que ma mère est encore au boulot à cette heure-là et que Marc n'est pas du genre à traverser la banlieue pour porter mon sac, j'ai toujours cet espoir débile.»
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d'espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu'il arrive, ils n'ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d'émotion qu'ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d'Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
Mon avis :
Ce recueil de petites histoires est assez rapide à lire. On y rencontre des gens différents.
Petites pratiques germanopratines : Une femme aperçoit dans la rue un homme qui l'attire. L'approchera-t-elle?
I.I.G. : Elle est enceinte et déjà un enfant. Elle vit une nouvelle grossesse.
Cet homme et cette femme : Un couple est dans une voiture. Pas un mot.
The Opel Touch : La difficulté des relations homme-femme.
Ambre : Il est chanteur. Il se drogue. Il rencontre Ambre.
Permission : Pas toujours facile d'être comparé à son frère aîné...
Le fait du jour : Un représentant est lié au fait du jour.
Catgut : une nouvelle vétérinaire arrive à la campagne.
Junior : Quand un enfant "de la haute" devient ami avec un fils de cultivateur, ils vont à une fête avec la voiture paternelle.
Pendant des années : Des erreurs de jeunesse naissent les remords. Faut-il rattraper le temps perdu?
Clic-clac : La vie n'est pas facile pour ce jeune homme qui vit avec ses soeurs... Le tout est de s'affranchir.
Epilogue : ou l'histoire d'un auteur et de son travail.
J'ai vraiment aimé ces petites histoires où les chutes créent à chaque fois un effet de surprise. Les situations décrites sont si réelles. J'ai eu l'impression, à chaque fois, de lire un journal intime, un morceau de vie de chacun des personnages.