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mardi 20 avril 2010

Un minuscule inventaire

Auteur : Jean Philippe BLONDEL


L'histoire :

Antoine, la quarantaine, est divorcé. Pour repartir sur de bonnes bases, il décide de vendre une partie des objets accumulés dans sa vie d'avant. Ainsi, ces petits objets feront remonter à la surfaces de tendres souvenirs.

Ce que j'en ai pensé :

J'avis entendu beaucoup de bien de ce livre. Lorsque je l'ai trouvé à la bibliothèque, il avait sauté de lui-même dans mon SLAT.

Verdict : je me suis ennuyée. Je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout de ma lecture. Cette succession de flashbacks m'a semblé longue, peut-être même trop longue. J'avais l'impression de ne pas avancer dans l'histoire.


D'autres avis :

Elles ont aimé :
Abeille, Bladelor, Fashion, Karine

Monsieur Chatastrophe


Auteur : Chris PASCOE

Titre original : A Cat Called Birmingham



L'histoire :

Chris Pascoe nous raconte quelques anecdotes concernant son chat appelé Birmingham à l'origine mais désigné par le diminutif Brum.

Tout le monde sait que les chats sont des êtres agiles, souples, prévenants, et encore pleins d'autres choses. Seulement, Brum est l'exception. Ce chat enchaîne les catastrophes.


Ce que j'en ai pensé :

Lorsque j'ai vu ce livre sur le présentoir de la bibliothèque, j'ai été attirée par la jolie photo de la couverture. J'ai lu le 4° de couverture puis ai décidé d'emprunter le livre. Et franchement, j'ai bien fait. Les anecdotes sont hilarantes. J'avoue que j'ai été plusieurs fois au bord des larmes tellement j'ai ri. Il faut dire que je m'imaginais les scènes...

C'est un livre facile à lire. Les chapitres sont très courts. C'est écrit en taille moyenne (ça change des livres écrits en minuscule).

Je recommande ce livre à ceux et celles qui aiment les chats. Et aux autres aussi.




Livre lu dans le cadre du Challenge du Tour du Monde, lancé par Livresque.

Décompte des livres lus : 1 / 50

dimanche 18 avril 2010

Dimanche poétique # 27

Comme bien souvent, mon poète chouchou est à l'honneur ce dimanche.


La coccinelle


Elle me dit : Quelque chose
Me tourmente. Et j'aperçus
Son cou de neige, et, dessus,
Un petit insecte rose.

J'aurais dû - mais, sage ou fou,
A seize ans on est farouche,
Voir le baiser sur sa bouche
Plus que l'insecte à son cou.

On eût dit un coquillage ;
Dos rose et taché de noir.
Les fauvettes pour nous voir
Se penchaient dans le feuillage.

Sa bouche franche était là :
Je me courbai sur la belle,
Et je pris la coccinelle ;
Mais le baiser s'envola.-

Fils, apprends comme on me nomme,
Dit l'insecte du ciel bleu,
Les bêtes sont au bon Dieu,
Mais la bêtise est à l'homme.

Victo Hugo, Les Contemplations.


Vous trouverez les autres particpants aux dimanches poétiques chez
Celsmoon.