Auteur : Catherine CUSSET
4° de couverture :
« Je suis radine mais j'aimerais ne pas l'être. La première victime de ma radinerie, c'est moi.
En effet je crois que vivre c'est dépenser, jouir, donner sans compter. Surtout, ne pas compter.
Je peux me mettre en colère contre moi. Je peux réagir contre. Il n'en reste pas moins : mon premier instinct, c'est d'être radine.
Je finirai comme grand-maman : invitant les autres, payant avec mon fric laborieusement économisé. Je serai la femme-qui-paie-plus-vite-que-son-ombre, mais je resterai la radine : celle qui calcule.
Parfois je me demande si c'est par radinerie aussi que j'écris. Pour que rien ne se perde. Pour recycler, rentabiliser tout ce qui m'arrive. Pour amasser mon passé, le constituer en réserve sonnante et trébuchante. Pour y entrer comme dans une salle au trésor et contempler mes pièces d'or. Pour investir et faire fructifier mon capital de sensations et de douleurs. »
Ce que j'en ai pensé :
En lisant le résumé, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre. C'est donc par curiosité que j'ai emprunté ce livre à la bibliothèque.
Je dois avouer que ce livre ne m'a pas vraiment enthousiasmée. Je me suis sentie lassée au bout d'un moment. Mais je suis quand même allée jusqu'au bout, je n'aime pas abandonner une lecture.
Ce qui ne m'a pas vraiment plu ? Disons... une sensation de lourdeur et d'ennui au fil de ma lecture. Je n'avais pas l'impression d'être amenée à un point précis.
Mais ça ne veut pas dire que je ne tenterai pas un autre livre de l'auteur une autre fois... Il se peut que le prochain me plaise davantage.
4° de couverture :
« Je suis radine mais j'aimerais ne pas l'être. La première victime de ma radinerie, c'est moi.
En effet je crois que vivre c'est dépenser, jouir, donner sans compter. Surtout, ne pas compter.
Je peux me mettre en colère contre moi. Je peux réagir contre. Il n'en reste pas moins : mon premier instinct, c'est d'être radine.
Je finirai comme grand-maman : invitant les autres, payant avec mon fric laborieusement économisé. Je serai la femme-qui-paie-plus-vite-que-son-ombre, mais je resterai la radine : celle qui calcule.
Parfois je me demande si c'est par radinerie aussi que j'écris. Pour que rien ne se perde. Pour recycler, rentabiliser tout ce qui m'arrive. Pour amasser mon passé, le constituer en réserve sonnante et trébuchante. Pour y entrer comme dans une salle au trésor et contempler mes pièces d'or. Pour investir et faire fructifier mon capital de sensations et de douleurs. »
Ce que j'en ai pensé :
En lisant le résumé, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre. C'est donc par curiosité que j'ai emprunté ce livre à la bibliothèque.
Je dois avouer que ce livre ne m'a pas vraiment enthousiasmée. Je me suis sentie lassée au bout d'un moment. Mais je suis quand même allée jusqu'au bout, je n'aime pas abandonner une lecture.
Ce qui ne m'a pas vraiment plu ? Disons... une sensation de lourdeur et d'ennui au fil de ma lecture. Je n'avais pas l'impression d'être amenée à un point précis.
Mais ça ne veut pas dire que je ne tenterai pas un autre livre de l'auteur une autre fois... Il se peut que le prochain me plaise davantage.
2 commentaires:
Je te conseille "Le Problème avec Jane" de la même auteure. J'ai beaucoup aimé. Il y a en quelques sortes une "enquête" qui interpelle le lecteur!
Azilis : je note dans un coin du carnet... si je le trouve à la bibli, je lui donnerai sa chance...
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