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mercredi 13 octobre 2010

Postmortem


Auteur : Patricia CORNWELL


Présentation de l'éditeur :

Richmond, Virginie. Quatre femmes ont été torturées, violées, égorgées. Une femme noire et trois blanches. Rien, pas le moindre indice ne les relie entre elles, si ce n'est précisément l'assassin. Le docteur Scarpetta s'acharne à traquer le tueur en série. Il est intelligent, rusé et ne semble commettre aucune faute qui pourrait mettre les enquêteurs sur la voie. Elle sait qu'il n'arrêtera pas. Si elle ne trouve pas très vite une piste pour remonter jusqu'à lui, une autre femme va mourir. Tout semble se liguer contre la police et Kay pour favoriser le tueur. Peu à peu, Kay Scarpetta commence à se sentir menacée.


Ce que j'en ai pensé :

Je ne connaissais pas du tout cette série. Je suis donc partie sans a priori.

J'ai tout simplement adoré ! J'ai été tenue en haleine jusqu'à la fin. L'héroïne nous entraîne avec elle au fil de ses théories jusqu'à la découverte et l'arrestation de l'assassin. Je me suis laissée porte par le rythme (effréné) des événements. Le tandem Kay Scarpetta - Peter Marino (le policier macho) m'a beaucoup plu : deux personnages si différents mais pourtant complémentaires.

Je pense que je poursuivrai la lecture de cette série (dès que ma PAL aura baissé).




Livre reçu dans le cadre su Swap ST Patrick de Canel, envoyé par Fabi.







Livre lu dans le cadre du Challenge du Tour du Monde, lancé par Livresque.

Décompte des livres lus : 5 / 50

mardi 12 octobre 2010

Les hommes qui n'aimaient pas les femmes

Auteur : Stieg LARSSON

Série : Trilogie Millenium, tome 1


4° de couverture :

Ancien rédacteur de Millénium, revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Blomkvist est contacté par un gros industriel pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans. Dans le huis clos d'une île, la petite nièce de Henrik Vanger a disparu, probablement assassinée, et quelqu'un se fait un malin plaisir de le lui rappeler à chacun de ses anniversaires. Secondé par Lisbeth Salander, jeune femme rebelle et perturbée, placée sous contrôle social mais fouineuse hors pair, Mikael Blomkvist, cassé par un procès en diffamation qu'il vient de perdre, se plonge sans espoir dans les documents cent fois examinés, jusqu'au jour où une intuition lui fait reprendre un dossier. Régulièrement bousculés par de nouvelles informations, suivant les méandres des haines familiales et des scandales financiers, lancés bientôt dans le monde des tueurs psychopathes, le journaliste tenace et l'écorchée vive vont résoudre l'affaire des fleurs séchées et découvrir ce qu'il faudrait peut-être taire.


Ce que j'en ai pensé :

Comme souvent, c'est grâce à vos blogs que je découvre de nouveaux auteurs... Cette fois n'a pa été une exception.

Une fois plongée dans le livre, il n'a pas été facile de le poser. Je me suis donc fait des soirées lectures très rallongées, pour finir le livre, car je ne voulais pas attendre pour connaître la suite.

L'intrigue :
Elle m'a tenue en haleine, à aucun moment je n'avais trouvé la résolution de l'enquête menée par les deux personnages. J'ai trouvé qu'il n'y avait pas de temps mort, on n'a pas le temps de s'ennuyer.

Les personnages :
Le duo formé ar Mikael et Lisbeth m'a fait pensé à Laurel et Hardy, du fait qu'ils ne se ressemblent vraiment pas. Au contraire, tout les oppose. Là s'arrête la comparaison. Ce tandem va apprendre à se connaître, va s'apprivoiser.

Une dernière impression :
J'ai apprécié également les petites infos ici et là qui permettent de comprendre un peu la Suède. L'auteur nous donne quelques points de repères de ce pays.






Livre lu dans le cadre du Challenge du Tour du Monde, lancé par Livresque.

Décompte des livres lus : 4 / 50


lundi 11 octobre 2010

Sonietchka


Auteur : Ludmila OULISTSKAIA


4° de couverture :

Depuis toujours, Sonia puise son bonheur dans la lecture et la solitude. C'est dans une bibliothèque que, à sa grande surprise, Robert, un peintre plus âgé qu'elle, la demande en mariage. Avec Robert et, bientôt, leur fille Tania, Sonia n'est plus seule, elle lit moins, mais, malgré les difficultés matérielles de l'après-guerre, elle cultive toujours le même bonheur limpide, très légèrement distant et ironique. Des années plus tard, Tania introduit à la maison son amie polonaise Jasia, fille de déportés, mythomane, fantasque, aussi jolie que Tania est laide, et goûtant, comme elle, aux jeux amoureux. Jasia devient la maîtresse de Robert. Malgré son chagrin, Sonia est toujours heureuse. Robert meurt. Tania et Jasia s'en vont à leur tour, Sonia se retrouve seule, elle se remet à lire. Elle irradie toujours du même bonheur résolument paisible et mystérieux.


Ce que j'en ai pensé :

Lorsque j'ai lu le résumé, je ne me suis pas posé de question : je devais emprunter ce livre. A peine rentrée, j'en ai commencé la lecture.

Pour ce qui est de l'histoire, je n'en dirai pas plus, le résumé dit le principal.

Honnêtement, je m'attendais à beaucoup plus. J'ai eu une impression de survol. On n'entre pas assez dans les personnages, ce qui fait qu'on reste au-dehors de ce qui se passe dans le récit. De plus les espaces-temps entre chaque chapitre sont très inégaux.

Malgré ceci, je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé; j'aurais juste apprécié un peu plus d'implication dans le récit.



Livre lu dans le cadre du Challenge du Tour du Monde, lancé par Livresque.

Décompte des livres lus : 3 / 50

dimanche 10 octobre 2010

Dimanche poétique # 46

Aujourd'hui, je vous propose de reprendre ma série de poèmes mettant en scène des animaux... Mais ce n'est pas toujours facile de trouver un texte qui me plaise et un animal que je n'ai pas encore évoqué... Que je suis difficile !

Ce dimanche madame fourmi sera mise à l'honneur par Robert Desnos, dans un petit texte appris il y a fort longtemps...



La fourmi

Une fourmi de dix-huit mètres
Avec un chapeau sur la tête,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Une fourmi traînant un char
Plein de pingouins et de canards,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Une fourmi parlant français,
Parlant latin et javanais,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Eh ! Pourquoi pas ?


EDIT :
les participants ~ les auteurs choisis (à venir)

Anne

Cagire

Claudialucia

Daniel

Emmyne

Ferocias

Hambre

Lystig

Mango

MyrtilleD

Yueyin

samedi 9 octobre 2010

Le lièvre de Vatanen

Auteur : Arto Paasilinna

4° de couverture :

Vatanen est journaliste à Helsinki. Alors qu'il revient de la campagne, un dimanche soir de juin, avec un ami, ce dernier heurte un lièvre sur la route. Vatanen descend de voiture et s'enfonce dans les fourrés. Il récupère le lièvre blessé, lui fabrique une grossière attelle et s'enfonce délibérément dans la nature.
Ce roman culte dans les pays nordiques conte les multiples et extravagantes aventures de Vatanen remontant au fil des saisons vers le cercle polaire avec son lièvre fétiche en guise de sésame. Il invente un genre : le roman d'humour écologique.


Mon avis :

Bien décidée à reprendre les choses en main, et plus particulièrement l'avancement de mes challenges, un petit tour par la bibliothèque s'imposait. C'est là que j'ai trouvé ce roman qui, je vous le dis maintenant, m'a beaucoup plu.

Ce qui m'a plu exactement?
Tout ! Les chapitres sont assez courts, il y a une continuité dans le récit, le lecteur se sent observateur des scènes décrites.

Mais pourquoi est-ce que j'ai tant aimé?
Parce que ma soeur avait un lapin quand j'étais encore chez mes parents? Peut-être.
Parce que l'histoire se passe dans un autre pays? Peut-être.
Parce que c'est l'histoire d'un homme qui lâche tout pour se construire une nouvelle vie? Peut-être.

C'est vraiment un livre qui m'aura entraînée loin... si loin que je n'ai pas pu enchaîner avec un autre livre tellement il m'a fallu du temps pour revenir dans le monde réel avant d'entrer dans une nouvelle ambiance.


Livre lu dans le cadre du Challenge du Tour du Monde, lancé par Livresque.
Décompte des livres lus : 2 / 50

(Suite à une erreur de manip', le logo a disparu; comme je n'ai pas envie de recommencer ce billet, il va falloir s'en passer, désolée).

dimanche 3 octobre 2010

Dimanche poétique # 45

Me voilà rentrée de mes vacances et donc prête à me remettre à alimenter mon petit blog...

Pour ma participation d'aujourd'hui, ce sera un poème (de saison) de Maurice Carême.


L'automne

L 'automne au coin du bois,
Joue de l'harmonica.
Quelle joie chez les feuilles !
Elles valsent au bras
Du vent qui les emporte.
On dit qu'elles sont mortes,
Mais personne n'y croit.
L 'automne au coin du bois,
Joue de l'harmonica.

Edit de 19h : Ils participent aujourd'hui :

Anne : 2 textes de Rainer Maria Rilke
Azilis : des petits textes originaux
Cagire : une chanson de Michel Berger
Chrys : un poème de Jacques Prévert
Claudialucia : un texte d'Alphonse Allais
Daniel : un poème de François Coppée
Edelwe : une chanson de Michel Berger
Emmyne : une chanson de Barbara
George : un poème d'Alfred de Musset
L'or des chambres : un extrait de Louis Aragon
Lystig : un texte d'Alain Debroise
Mango : un poème de Jean Genet
MyrtilleD : un texte de Jacques Charpentreau
Naolou : un texte de Sandrine Gestin
Océane : un poème de Robert Desnos
Saphoo : un texte de James Noël
Yueyin : un poème de WH Auden

Voilà. Si vous ne vous trouvez pas dans cette liste, laissez-moi un petit commentaire et je vous y ajoute.

Sinon, tous les participants se trouvent dans la liste
ici - en attendant une liste plus mise à jour...

dimanche 19 septembre 2010

Dimanche poétique # 44

Ce n'est pas parce que je suis en vacances qu'il n'y aura pas de dimanche poétique ! Je voulais vous présenter un poème qui vous parlerait de la région où je serai ce soir, mais je n'ai pas trouvé sur le net. Voici donc un petit poème de vacances, de mer, de coquillage...



Bestiaire du coquillage


Si tu trouves sur la plage
Un très joli coquillage
Compose le numéro
OCÉAN 0.0.

Et l'oreille à l'appareil
La mer te racontera
Dans sa langue des merveilles
Que Papa te traduira.


Claude Roy


Comme tous les dimanches, les participants sont par
ici.